Les copains, oui, j'ai fauté, oui, j'ai laissé mon blog dépérir, c'est moche.
La faute à – si, j'vous jure – du travail par-dessus la gambette.
Pour vous montrer que je dis la vérité, voici un extrait tout frais de mes récentes occupations diurnes et nocturnes.
C'était un boulot très chouette, on en reparlera lors de sa sortie.